All in Les gens

Quand l’accessoire devient essentiel

L’histoire de Maëlle est une histoire de passion. A l’âge de 9 ans, dans le salon de coiffure de sa mère, elle s’occupe en confectionnant des accessoires à partir de chutes de cheveux. Depuis cette date, son envie de créer ne l’a jamais quitté. Elle lance aujourd’hui sa maison de maroquinerie haut de gamme, baptisée Motif Postiche.

Néroli Solaire

On lui doit notamment Couleur Vanille, l’un des opus de la prestigieuse maison L’artisan Parfumeur. Pour la nouvelle collection des parfums Repetto, Aliénor Massenet signe un Néroli Solaire particulièrement envoutant.

Atelier Aismée : une histoire de famille  

Elle est directrice artistique, il est directeur marketing. Lorsque Florian et Émilie se rencontrent sur leur lieu de travail c’est le déclic. Vite, ils décident de faire leur vie ensemble. Personnelle d’abord, avec la naissance de leur petite fille, mais professionnelle également, avec la création d’Atelier Aismée. Retour sur une histoire de famille.

Du jardin au flacon

Les parfums de Rosine, c’est une histoire de famille et de passion. Crée en 1991 par Marie-Hélène Rogeon, la maison est aujourd’hui dirigée par son fils Louis. Au quotidien, il s’emploie à faire vivre les roses en senteur, guidé par un double héritage familial : celui de sa mère, passionnée de roses, mais également celui de son arrière-grand-père, conditionneur. Rencontre.

Esthétique de la métamorphose

Les rencontres de la photographie d’Arles se tiendront cette année du 4 juillet au 26 septembre 2021. Parmi les artistes présents : Smith qui pour l’occasion, publie « désidérations (prologue) » aux éditions Textuel.

Une ôde Alavie

Pour Sabrina Stanfield et Clémentine Raisin, l’année 2020 a été l’occasion de lancer leur projet entrepreneurial. Durant cette période confinée née en elles l’envie de célébrer la vie, au travers d’une gamme de boissons festives, naturelles, sans alcool et sans sucre. Un challenge de taille pour ces deux passionnées qui ont opté pour le made in France. Focus sur un nouvel entrant sur le marché des boissons NOLO.

Ciment, savonnerie parisienne

A la tête de Ciment Paris : Solène et Jeremy. Deux passionnés d’artisanat qui ont choisi d’ouvrir leur boutique en plein coeur de Paris (100 avenue Parmentier, paris 11ème). Si la boutique est aujourd’hui fermée pour cause de troisième confinement, le duo continue d’innover et de commercialiser ses savons en ligne, la période étant, plus que jamais, à la propreté!

L’Endroit

Souvenez-vous, c’était il y a environ deux ans. Dans un monde pré-covid, la tendance était alors aux lieux « cocons ». Des espaces pensés « comme à la maison » où se mêlaient collections de livres colorés, meubles scandinaves, coussins moelleux et thé fumant. Des « vrais-fake », particulièrement appréciés des start-upeurs et des spécialistes d’événements.

Linaé : La fibre cosmétique

L’histoire de Linaé, c’est avant tout une histoire de transmission. Petite, Stéphanie Gastaldin, grandit auprès d’un père liniculteur en Normandie. De son enfance, elle retiendra l’amour du travail bien fait, du Made in France et de la proximité avec la nature. Elle lance Linaé, une marque de cosmétiques naturelle autour des extraits de lin bio. 

Une histoire mondiale des femmes photographes

C’est un livre écrit par des femmes au sujet de femmes mais qui s’adresse à tout un chacun. « Une histoire mondiale des femmes photographes », aux Éditions Textuel, dévoile 300 femmes photographes. Depuis l’invention du daguerréotype jusqu’au numérique, ces créatrices, souvent méconnues, ont participé l’histoire de la photographie. Leurs clichés sont autant de témoignages du monde : depuis les scènes ordinaires de la vie domestique et conjugale aux grandes explorations, en passant par la mise en image des grands de ce monde aux scènes de rues.

Respect By David Lucas

Le coiffeur David Lucas aime sa maman. C’est pour elle, qu’en 2016, il créé sa toute première ligne de soin. Baptisée « Monique », cette gamme s’adresse à toutes celles dont les cheveux sont volumineux, sans éclat et jamais bien coiffés.

Drat’s, entre Jazz et création culinaire

Tout de suite, nous trouvons des accointances. Gilles n’aime pas Instagram. Non qu’il n’aime pas, mais plutôt il ne comprend pas cette constate avalanche de photos dégoulinantes de stratégies de mise en valeur de soi. Sur ce thème, il me conseille même l’écoute d’une émission de France Inter.